dimanche 29 mars 2020

Le billet du coronavirus / covid-19 / Cov-2-Bidule-Truc

Hello les amiches,

Je profite de ce temps disponible pour changer d'hébergement. Je suis sûr que depuis votre ordinateur confiné entourée de boite de pizza, vous sentez le bon air des datacenters de Mr Neils . C'est cool, après 20 ans à tourner autour du sujet, j'ai enfin sauté le pas d'administrer ma machine. Je quitte l'hébergeur mutualisé lautre.net car je ne me sentais pas utile en temps que petit breton/vendéen dans une asso qui a bien de besoin de membre actif mais qui hélas est très parisienne.

Bref, revenons à nos moutons, je m'en vais vous partager une petite sélection d’œuvres culturelles pour accompagner cette pandémie avec philosophie.

contagion-soderbergh-630x430.jpg, avr. 2020 Je commence donc par le film cité par tous : Contagion de Stephen Soderberg. On est dans le reportage, le domaine de l'anticipation de ce que nous vivons actuellement. Un beau travail sur le sujet avec des plans bien propres. Un"must see" pendant le confinement hélas avec Marion Cotillard.

Medecin_peste1-e1387223077669.jpg, avr. 2020 La peste de Albert Camus, c'est le seul livre que j'ai lu de cet auteur (mais oui je devrais en lire d'autre). En tout cas, c'est un bon roman, c'est bien écrit, il y fait chaud et ça donne mal à la tête à la lecture .

Ensuite, on va taper dans du lourd du très lourd, du téléfilm d'M6 pendant les années 90 (Souvenez vous ça, les langoliers...) : il s'agit de "The Stand" une adaptation d'un roman de Stephen King. Je peux vous dire que la pandémie y est fulgurante et va éradiquer une bonne grosse partie de l'humanité des états unis. Le top étant que tout ceci se transforme en une lute entre le bien et le mal. Ce dernier étant incarné par une diablotin tout vêtu de jean's (pantalon, chemise et veste), les santiags au pied et la coupe mulet qui va avec. Ça pose le décors, amateur du kitch des 90's foncez pour ces 6h de visionnage qui passent tout seul.

Et enfin, pour le dessert, je vous propose la mini série française "L'effondrement", fait par l'équipe des parasites. Ça fait plaisir de voir jusqu'où ils sont arrivé ces réalisateurs de court métrage sur youtube nous ont produit ici une belle petite série analysant les dérives de notre société à travers un effondrement pas si éloigné de la vérité (il n'ont tout de même pas prévu les pâtes et le PQ). J'espère qu'un producteur va leur filer de la tune pour un long métrage ça va envoyer du steak !

ReGenesis_season_one_DVD.jpg, avr. 2020

Vous en avez pas assez et vous savez qu'il y a toujours un digeo chez moi et bien, je vous propose au menu la série canadienne Regenesis, le héros à tête d'un laboratoire éradique à chaque épisode une épidémie de mondiale aussi fulgurante que Ebola. Je peux vous dire que ça envoi du steak, en plus il va bosser à vélo, la question "Mais où est le patient 0 ?" ne sonnera plus pareil dans votre tête.

Si besoin, je peux prêter les DVD, je dis ça je dis rien

vendredi 15 février 2013

Personnalité de l'année 2012

Je profite de la saint Valentin 2013 pour vous parler de la personnalité de l'année 2012 et conclure sur cette magnifique année.

La personnalité élue en question est donc....... (roulement de tambour) La banque Goldman Sachs !!

Bin oui, c'est à travers un film (Margin call) et un documentaire (Goldman Sachs la banque qui gouverne le monde), que j'ai découvert cette banque dont je ne connaissais pas les agissements.

  • Le film : Je préfère prévenir, je vois pas trop de manière de parler de ce film sans faire un peu de spoiler. C'est beau de voir comment ce film, éminemment dans l'air du temps, est une nouvelle démonstration de la manière de comment le cinéma américain représente les grands événements de l'histoire actuelle sur une toile animée. Margin Call n'est pas un film pédagique, margin-call04.jpgni une sorte de documentaire gaucho. Il s'agit de l'histoire d'une “simple” nuit où des employés font des heures sup', bon vu comme ça, je ne vends pas du rève. Mais si cette entreprise est une grande banque d'investissement et que cette nuit se révèle être la nuit de la veille de l'éclatement de la bulle des subprimes. Le film devient de plus en plus intéressant. Le réalisateur s'est amusé, si l'on peut dire, à imaginer comment des hommes qui se prennent pour des dieux qui réagissent lors du réveil du monstre. Et surtout, ce film nous démontre l'utilité trop souvent oublié des ponts !
  • Le documentaire : ce documentaire ultra pédagogique détaille les activités de cette banque depuis 5 ans. Leur rôle dans le caractère mondial de la crise des subprimes n'est plus à prouver, leur rôle comme gentil parrain de mafia qui tel une bonne œuvre de charité endette la grece pour mieux la ruiner est officiel mais bon comme c'est le client qui a pris les risques.. eux ils n'en ont rien à faire, zont pas de problème et puis bon, comme en 2008 ils ont failli y passer (ce qui aurait eu lieu si les états ne se serait pas lancé à sauver les banques avec le pognon des impots), . GS.jpgmaintenant ils se sont implantés dans les administrations politique des US (à la rigueur ils font ce qu'ils veulent ces ricains) mais bon quand ça arrive Europe ça commence à faire beaucoup (Romano Prodi, mario monti ça vous dit quelquechose ?)

C'est pourquoi Goldman Sachs est sacré personnalité de l'année 2012 du blog de sexe et je pense qu'on a pas finit d'entendre parler de cette banque...

dimanche 2 décembre 2012

Bullhead

Allez hop, je aperçois que ça fait un petit moment que je n'ai pas partagé mes ressentis suite au visionnage de films... et c'est dommage car mon cerveau, qui est un peu fainéant, ne s'occupe que de garder en mémoire les films majeurs et les autre films pas trop mal mais pas aussi bien s'évanouissent alors dans les méandres de ma cervelle. En prenant un peu de temps, je peux écrire ce que j'en pense, partager cela avec le milliard d'être humain connecté grâce à magie d'internet et laisser de la place pour ces films "pas trop mal mais pas aussi bien".... c'est donc trop bête de ne pas s'en priver, je vais me lancer dans une série de billet (les mauvaises langages diront que généralement quand on dit ça on ne fait rien...), mais je vais essayer de m'y tenir sur ce coup là. En commençant par mon coup de cœur de l'année 2012, histoire que ce film ne monopolise plus mes pensées cinéphiles : Bull head.

20022992.jpg-r_160_240-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-20120209_114627.jpgIl s'agit d'un premier film du réalisateur Belge Michael R. Roskam. Il a été nominé pour l'oscar du meilleur Le film est sorti en salle en février 2012, il est maintenant disponible en DVD et très certainement bientôt diffusé à la télé (mais bon à moins d'avoir une salle de cinéma privée, je pense que l'effet ne sera pas le même sur un petit écran, vous voila prévenu). Son nom est imprononçable à l'oral pour un français, à chaque fois tout le monde croit qu'il s'agit du film éponyme Bullhit alors que la comparaison s'arrête là.

Je ne veux pas en dire trop sur ce film à part que le film se déroule dans le milieu de la mafia des hormones belges, un milieu campagnard d'éleveur de viande. Ce film est violent, cette violence justifié au spectateur, grâce à une réalisation et un scénario impeccable : la magie du cinéma fonctionne à merveille (comprendre la transposition du spectateur dans la tête du personnage principal fonctionne). On ressent la moindre émotion, le moindre malaise, la moindre tension que vit la boule de nerf incarnée par Matthias Schoenaerts (il joue aussi dans le film de Rouille et d'Os mais nous y reviendrons dans un prochain billet...peut être).

Bref, je vous recommande de voir ce film (âme sensible s'abstenir) en cadeau de noël, emprunté à votre médiathèque, en rediff sur arte, en copie de sauvegarde, en rediffusion dans un cinéma car le programmateur de votre salle préférée à du goût...

vendredi 10 février 2012

Carnage

C'est toujours facile de faire un post sur un film que j'ai aimé. Ce n'est donc pas cette fois que que je ne vais pas me priver.

Je m'en vais donc vous parler de Carnage, le dernier film du gars Roman Polanski. [Interlude politico-mediatico-artistique] Il s'agit du mec qui a violé une fille peut être consentante sous drogue mais qu'on sait plus trop parceque ça fait 40 ans, et qu'en plus la fille ne veut plus en entendre parler mais que les américains veulent quand même attraper ce mécréant mais pas trop parce que si ils voulaient vraiment (les américains), je pense que depuis le temps, ils l'auraient attrapé et puis que tout nos grands intellectuels français défendent becs et ongles parceque bon quand on est un grand réalisateur, et bien, on a le droit d'être un hors la loi...[/Interlude politico-mediatico-artistique]

caranage.jpg

Moi en tout cas, j'aime bien les films qu'il réalise le bonhomme et celui-ci ne fait pas exception. Il s'agit d'une adaptation d'une pièce de théâtre de Yasmina Reza (perso je me fiche du théâtre, je pense que c'est un truc fait pour les parisien de Paris et qu'on en parle trop dans le média parce que bon quand on habite dans le fin fond de la campagne c'est dur d'aller au théâtre). On a ici affaire à un vrai huit-clos qui respecte les codes du genre. Deux couples de parents que tout opposent (à part peut être leur aisance financière) sont amenés à se rencontrer car leurs charmants bambins respectifs se sont chamaillés, l'un à quelque peu défiguré l'autre (deux dents en moins). On se retrouve donc coincé dans cet appartement où l'on assiste à un combat d'idée d'une férocité indéniable. L'histoire trace à une vitesse, on découvre les multiples facettes des personnages complexes à qui l'on a affaire. Bref, encore un bon film pour qui aime le sarcastique Polanski.

mercredi 14 décembre 2011

The duel : Intouchable Versus Les neiges du kilimandjaro

Treize millions de personnes ont été voir intouchable et l'ont trouvé troooop bien. C'est vrai que sur le coup, je suis sorti de ce film avec le sourire, mais bon, faut arrêter de déconner : ce n'est qu'une bonne vielle comédie française qui vire au conte de fée. C'est bien beau cinq minutes, mais, il faut avouer que les myopathes millionnaires ne fleurissent pas les rues. Je pense qu'on peut faire mieux question film qui donne espoir en la société et en l'humain... Bref, je ne vais pas m'éterniser, je voulais seulement dire que je trouve que ce film ne donnait pas la banane, uniquement le sourire.

19816052.jpg-r_160_240-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-20110921_120629.jpg

Alors qu'en ce moment au cinéma, il y a "Les neiges du kilimandjaro", voilà un film qui donne la frite, la banane, la pêche et peut-être même l'abricot. Quel dommage que ce film n'ait pas lui aussi bénéficié d'une ruée populaire, quel bienfait se serait pour notre société ! ENFIN, un film positif, qui, à travers une belle histoire, nous laisse beaucoup à penser sur nos actions et leurs cohérences par rapport à nos convictions. Vaste sujet que de réfléchir à la manière de vivre, la plus en adéquation avec ces propres convictions, et bien ce film montre que ce n'est pas quelque chose de facile. Comment peut-on faire des erreurs ? Comment on peut se rattraper ? On y aborde aussi une certaine vision de l'égoïsme, tel qu'il est présent dans notre société occidentale au coeur de chacun de nous.

On ose enfin avouer que de petits bourgeois ce sont des personnes propriétaires de leur logement, qui ont de quoi manger, faire la fête le week end. Je sais que c'est dur mais c'est comme ça, la bourgeoisie ce n'est pas que "yatch & rolex", ça commence avec les personnes qui détiennent un patrimoine si petit soit-il... Par rapport à ceux qui n'ont rien !

Pour faire en quatre mots : enfin un film positif ! Espèce de bande de flasque arrosée à coup de coca cola que vous achetez à trop regarder les pubs de TF1.

A+ dans l'bus

mercredi 23 novembre 2011

Donoma : Guerilla Filmmaking à la française

donoma.jpgAttention révélation !

Un premier film fait sans gros budget, et c'est volontaire car l'auteur adhère au concept trop rare de "Guerilla Filmmaking". Ce film est à classer dans la catégorie cinéma français, mais il change des clichés habituels : il n'y a pas de trentenaire en crise, pas de réunion de famille dans une maison bourgeoise de campagne.

L'action se passe dans la banlieue parisienne. Elle est composée de petites histoires qui s’entremêlent, se mêlent et se démêlent. Les différents protagonistes sont les habitants de cette banlieue, ces habitants se livrent à différentes expériences qui abordent les sujets tel que l'amour, le destin, la vie quoi...

Ce film est réussi, car le réalisateur casse les codes, il utilise une manière de filmer qui lui est personnelle, il innove dans le domaine et crée une nouvelle façon de raconter des sujets milles fois abordés au cinéma.

Je vous conseille grandement d'aller voir ce film, si il a la chance de passer à coté de chez vous. En tout cas, je place Djinn Carrenard dans ma liste de réalisateur à surveiller.

Merci à l'ACID d'avoir fait partager la découverte.

samedi 5 novembre 2011

Léa de Bruno Rolland

19721900.jpg

Ce film est sorti, cet été. Il s'agit du premier film de Bruno Rolland. Dans ce film Anne Azoulay, qui joue le rôle de Léa, travaille dans une boite de strip tease pour financer ces études. Elle y applique directement, des règles de la société économique dont elle apprend la théorie sur les bancs de science po. A travers son regard impassible, on s'apercevra que ce rapprochement ne se fait pas sans séquelles.

J'ai bien aimé ce ce film que j'ai vu deux fois : la première fois chez moi en DVD, la deuxième fois au cinéma en présence du réalisateur. J'ai vu deux films différents :

  1. D'abord, l'histoire d'une jeune fille que rentre dans une spirale infernale à trop vouloir en faire.
  2. Ensuite, j'ai vu un film politique, avec une vraie dénonciation de la société actuelle, le phénomène des étudiantes qui deviennent strip-teaseuse voir prostituée afin d'être indépendante pendant leurs études existe. Dans ce film, le sujet est abordé de manière magistrale.

Enfin, l'intervention de Bruno Rolland a rajouté une troisième dimension au film, il s'agit de quelqu'un convaincu par son travail et qui est prêt à en discuter pendant un bon moment. Les digressions ne manquent pas au fur à mesure de la discussion : il souligne l'influence de l'école Science Po sur la société française, la manière dont il a voulu interroger/déranger le spectateur en faisant ce film, il explique comment il a divisé par deux le budget uniquement parce qu'il voulait faire le film avec Anne Azoulay (qui a co-écrit le scénario) au lieu de prendre une "grande" actrice française pour le rôle. L'échange a bien duré une bonne heure.

Une fois sorti du cinéma, on se dit qu'on est pressé de voir les prochaines réalisations du monsieur (prévu pour 2013), car il a des choses à dire.

lundi 10 octobre 2011

This must be the place

19765824.jpg-r_160_214-b_1_CFD7E1-f_jpg-q_x-20110623_030336.jpgAaaaah enfin un bon film, Sean Penn assure un premier rôle de choix : celui d'une ancienne star de rock / gothique (avec un look directement copier sur Robert Smith des Cures).

Attention, ce film ne parle absolument pas de musique rock. Il est ici question de l'histoire d'un mec paumé, mais alors bien paumé. Ce mec va passer le film à se chercher une raison d'exister...

Je n'en dis pas plus, car il serait dommage de gâcher l'intrigue. J'ai vraiment aimé ce film qui allie des situations absurdes, un attachement réel au personnage et des prises de vue artistique.

Le dernier film qui m'avait autant plût mais dans un autre genre c'est Black Swan c'est pour dire qu'il est bien ce film ! This not be the place est donc en lisse pour gagner le fameux bidon d'or 2011 (oui oui, je viens d'inventer ce truc).



Si vous ne l'avez pas vu foncez non di diou.

lundi 19 septembre 2011

Melancholia : Luxe, Calme et Volupté

De la beauté, de la volupté, de l'art oserais-je dire.

Coincez-vous bien dans le fauteuil du cinéma, oubliez vos petits problèmes, de toute façon vous n'en avez plus rien à faire : la planète Mélancholia fonce droit sur vous... Un film qui avait ces chances pour la palme d'or si il n'y avait pas eu la polémique que vous savez.

Bref amateur de beauté rare, ne loupez pas ça sur la toile, parce que ça ne rendra rien sur votre télé 36 cm :)

vendredi 16 septembre 2011

Super 8 : super bof....

Ectac_Super-8-Film-de-J-J-Abrams_03-150x150.jpg Un peu facile comme jeu de mot, mais, ça résume plutôt bien ma pensée du film, je ne m'attendais pas à avoir affaire à un remake des goonies sur fond d'effet spéciaux numériques.

Je ne suis plus très fan des films où l'on met en avant les prouesses 3d avant l'histoire (je l'ai été pendant mon adolescence), et bien, je me suis bien ennuyé pendant les 3/4 de cette projection.

Au début, c'est sympa de voir les enfants jouer aux vidéastes... ça rappelle des souvenirs ( http://mrbidon.fr/thetcm/ ) ;-) mais dès que les effets 3d commencent à apparaître, le film devient inintéressant.

Conseil pratique : pour ceux qui iront voir le film en multiplexe, je leur conseille de partir voir un autre film dans une autre salle à ce moment (là ou des effets spéciaux commencent). Ensuite, de revenir pour la partie la plus intéressante : le film de zombie, celui que les enfants ont fait. Le résultat est une parodie de film amateur et c'est projeté pendant le générique (en gros, ne partez pas comme des sauvages à la fin du film). Je soupçonne même J.J. Abrams d'avoir réalisé Super 8 uniquement pour ça :-)

mardi 23 août 2011

Invasion Los Angeles

Aller pour changer, je ne vais pas vous parler d'un film Art et essais produit en ex-yougoslavie. Mais d'un bon vieux film de série B, le nom est une invitation au bonheur : "Invasion Los Angeles", déjà on sait que ça va parler d'extraterrestre et que l'action se passera dans la ville du cinéma ou tout est possible: Los Angeles. Le réalisateur est John Carpenter le réalisateur des cultes Halloweens (que je n'ai pas vu)

invasion_la.jpg Le pitch est simple et efficace : un héros bodybuildé, découvre que des ETs sont cachés parmi les humains et les manipulent à leur insu. Ni d'une ni deux, ce monsieur, bon et honnête, prend sur lui même de bouter ces mécréants hors de la terre heu... je veux dire des états unis qui comme chacun sait et couvrent au moins les 3/4 de la surface de la terre.

Va-t-il convaincre son ami, noir, grand et bodybuildé de le suivre dans sa folle aventure ?

Cet ami va-t-il mourir avant la fin du film ?

La belle femme ténébreuse va-t-elle tomber dans sous son charme ?

Bref, un film sans fioriture ni intrigue extravagante : simple et efficace. Je le pose sur la même étagère que "Android Apocalypse", amateur du genre c'est à ne pas louper. Pour les autres, si vous passer par là une bonne partie de rigolade vous attends.

invasion.jpg

Fiche allociné : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=4660.html

Et puis tiens, ce film n'a pas de fiche nanarland... domage... ;-)

vendredi 19 août 2011

Une séparation

unseparation.jpgHier, j'ai projeté le film "Une séparation". Il s'agit d'un film Iranien de Asghar Farhadi. Ce réalisateur est aussi à l'origine du film "A propos d'Elly" qui m'avait bien plût. Ce film à aussi raflé un ours d'or à la Berlinale (festival dont les prix sont du même niveau de qualité que notre festival cannois national). 

Bref, je m'attendais à du lourd... et bien ça été à la hauteur de mes espérances (pas totalement, mais c'est normal). Ce film est impeccable, bien filmé, on reconnais bien la pâte du cinéaste, j'ai trouvé le début un peu longuet mais, je pense que c'était dî à l'effet "écran télé" de la cabine. En salle, on doit être en train de s'immerger en Iran dans une famille qui divorce... Une fois le film démarré, le suspens est à son comble, l'intrigue est vraiment ficelée pas besoin d'effet spéciaux pour intéresser le public, Asghar sait manier la caméra et il sait comment faire parler l'image.

lundi 1 août 2011

Omar m'a tuer

omar_m_a_tuer_300.jpgCe film rappelle une affaire qui date d'à peine 20 ans et qui commençait à se faire oublier.

Je l'avoue, je n'en connaissais pas les détails, faut dire que je n'étais pas très intéressé par l'actualité à l'époque... j'avais 10 ans. Tout le long de ce film, je n'ai donc fait que découvrir, découvrir que la justice n'est pas aussi parfaite qu'on veut bien le croire et qu'au final ce sont (encore) les plus faibles qui trinquent.

Le film est bien fait, les acteurs sont excellent et l'intrigue bien présente. Petit ou grand, foncez voir ce film et "Omar m'as tuer" ne sera plus d'une simple expression pour vous.

lundi 14 mars 2011

Le cinéma mexicain

Viva Mexico !

Vous n'êtes pas sans savoir que 2010 est l'année du Mexique... Une force mytérieuse m'oblige à évoquer l'année du pays du catch moustachus sur mon blog :-)

Je vais vous présenter plus précisement des films mexicain. Ces films ne sont pas très connu de notre coté de l'atlantique, alros que pourtant le cinéma mexicain est vraiment très riche. Il possède une vielle histoire. <voie 1910> A l'époque, l'invention avait été importé au Mexique par les frères lumières themself !</voie 1910>

J'ai découvert ces films très confortablemet pendant festival de cinéma rennais Travelling, car cette année le thème était Mexico. Sur les 5 films que j'ai vu pas un seul n'était mauvais et tous surprenait par leur différence de style :

Les Bas-fonds de Mexico - Emilio Fernandez - 1946

labasfonddemexico.jpg C'est un bon vieux film d'action en noir et blanc comme on en fait plus. Il y a des mecs avec des pantalons remontés au dessus du nombril tenu par des bretelles. Il y a des musiques qui font "tululu" sur un plan où on voit un mec qui lit un journal indiquant que méchant s'est évadé. Il y a des buittages "bing", "pafs" et "pouf" pendant les bagarres...

Bref, si vous aimez les ambiances rétros avec des héros possèdant une morale implacable ce film est pour vous.

Santa Sangre - Alexandro Jodorowsky - 1988

santasangre.jpg Il s'agit d'un drame dans le milieu du spectacle. L'intrigue est bien ficelée. Les décors et les personnages sont surréalistes. On notera la présence d'une femme fatale bardée de tatouages, d'un enfant magicien et d'une mère appartenant à une sorte de secte. Et malgrès tout ça, on ressent la teinte mexicaine de ce film.

En tout cas, personnellement, je suis fan de l'auteur de BD et je suis content de voir qu'il est capable d'être bon dans un autre domaine artistique. Amateur de film "chelou" jettez vous sur ce petit bijou du genre.

Alamar - Pedro Gonzalez-Rubio - 2009

alamar.jpg L'histoire d'un enfant de divorcé qui renoue avec son père. La mère vie en italie dans une ville avec tout le confort moderne. Elle y a élevé son fils depuis sa naissance. Le père par contre vi "à la dure" dans un paradis terrestre encore existant sur terre. Forcément, le film ne parle pas de la vie italienne du gosse car c'est chiant. Mais bien sur de la découverte du mode de vie de son père.

Ca fait beaucoup de bien et ca devrait être remboursé par la sécu. Je préviens quand même les pressés : l'action du film se déroule lentement, ce qui n'est pas grave car la durée du film est assez courte.

Abel - Diego Luna - 2011

abel.jpg Dans une famille monoparentale, un enfant autiste prend la place d'un père de famille absent.

L'idée est cocasse et le résultat est là ! Ce film est à la foi émouvant et amusant, n'hésitez pas à aller le voir. Il doit encore être diffusé dans les salles près de chez vous.

La Zona - Rodrigo Pla - 2008

lazona.jpg <ironie>La Zona c'est un joli petit lotissement au coeur de Mexico.</ironie> Ce lotissement est entouré d'un mur de 5m de haut avec du barbelé dessus. Les entrées et les sorties y sont strictement contrôlées par des gardes de manière garantir la sécurité des habitants (Bref, le lieu de vie idéal des élécteurs de notre président actuel). Suite à un orage une brèche est crée dans ce mur, des jeunes des quartiers populaire qui se trouvaient là, en profite pour se glisser dans l'eden afin d'y faire quelques larcins et forcément, et bin, ça merde....

Un film dur qui met en lumière les dérives de l'homme moderne.

N'hésitez pas à aller dans votre médiathèque préférée pour emprunter les DVD de ces films ! Ou même à les acheter soyons fou :-)

Et merci à l'équipe de Clair Obscur !

mercredi 24 novembre 2010

Benda Bilili

bendabilili.jpg

Si vous n'avez pas vu ce film documentaire, foncez !

Ce petit bijou est un concentré d'espoir, ce film est tout bonnement émouvant mais absolument pas larmoyant.

La musique est bonne (oui je cite du Goldman, et alors ?). Ce film nous emporte dans un voyage en compagnie de ce groupe parti des rues de Kinshasa.

Tout le long du film, les membres du groupe chantent la vie avec philosophie et ça fait du bien de voir des personnages aussi phase avec eux même, quand on pense à tous les guignols qui remplissent les médias actuellement... et bien franchement, un tel film ça fait du bien et devrait être remboursé par la sécu !

lundi 6 septembre 2010

Revival...

Salut tout le monde,

Je vais tenter de faire revivre ce blog.... Beaucoup de choses se sont passée depuis deux ans, mais je fréquente toujours des festivals, je voyage toujours et j'ai de nouveau passe temps comme par exemple la rénovation de maison en pierre, l'apprentissage du futur métier oublié qu'est projectionniste !

Bref, lançons-nous : je vais tenter d'écrire des billets régulièrement. On verra, si j'en suis capable, attention pour arriver à atteindre cet objectif, il est fort probable que je transgresse un interdit : je vais peut être aller jusqu'à écrire des choses sur l'informatique....mais pas que !

millenium_1.jpg

Pour commencer, je vais vous parler brièvement de la trilogie Millenium : Cette trilogie est tout bonnement excellente. Ces films / séries sont basées sur un livre ayant atteint les meilleures ventes mondiales que je n'ai pas lu mais qui doit valoir le coup. Pour en revenir au film, au fur à mesure du visionnement des différents épisodes, on s'aperçoit que tout s'entremêle. Le rythme du film est purement alletant, les acteurs sont bons.

Bref si vous êtes à la recherche d'un thriller / espionnage pour vous changer les idées : foncez !

mardi 12 septembre 2006

Kulture cinéphile

Hello les gens,

Je vous propose de vous détendre avec un petit jeu amusant, il faut que vous deviniez à partir de quel film est extrait ce son :

La séquence mystère

C'est un excellent film que je recommande à tous.

jeudi 10 août 2006

The killing (L'utime Razia)

Attention les gens, là ça deviens cinéphile (à ne pas confondre avec zoophile), je vais donc faire un petit commentaire à chaud (plus c'est court plus c'est bon) de ce petit film que je viens de voir.

Donc c'est un film de Môsieux Stanley Kubrick de quand il était jeune, ce film raconte l'histoire d'un braquage et hop, je m'arrète là pour l'histoire.

Je pense que pour un bon vieux film en noir et blanc (1957), il n'a pas vielli d'une miette par rapport à ces petits frères ocean eleven ou autre. C'est moins mythique qu'un 2001 "space odyssey" ou autre "clockwork orange". Mais, le scénario est plutôt bien ficelé en fesant reposer le suspence sur la façon dont est monté le coup, il y a quelques clichets (ce n'en était peut être pas à l'époque), mais c'était un bon moment surtout la scène de la bagare (inimitable), je le recommande donc à tous chaudement pour vos soirées d'hiver et je lui donne un Yota bien mérité.

ps : si après ce post, je ne suis pas référencé avec des mots marrant je ne comprend pour l'instant j'ai que : "trouver un parking à barcelone" comme mot clef :-(

ps2 : les notes que je donne n'ont aucune classification et donc elles ne servent à rien.